A cet âge de la couronne d’ozone en feu,
C’est bien le fameux Coronna
Qui sonne le glas
Les hommes, tels des virus microscopiques
Habitants orgueilleux d’une boule de neige
Sont à juste titre têtues.
‘’Sourds, muets et aveugles ‘’.
Pourtant ils crient à tue-tête ,
Ils crient jusqu’au ciel : Nous sommes dieu.
Ivres de leurs puissances
Et savourant inlassablement le doux son des échos,
Ces mirages d’un peu de sciences
Et utopie du contrôle.
« L’homme a dompté la nature », se répètent- ils sans cesse
Mais l’an deux mille dix neuf
Finissait avec des dits neufs
Et nous voilà tous à jouer la comédie
De ‘’ tous unis ’’ dans la maladie.
Qu’importe la couleur ou la race ,
Qu’importe les frontières ou les croyances.
La boule de neige se contamine, comme un œuf.
Et puis nous voilà tous à écouter, sur toutes les ondes, les sons des échos vides
Ces échos de la maladie et de la mort qui évide.
Ces échos de « Restez chez vous », dehors il y-a la Covid
Et à contempler une bataille, à peine commencée, gagnée par des chaos vide
O hommes apprenez donc de la leçon du Covid.
Il dit : ne me mépriser point cher hôte
Car ne voyez-vous pas nos ressemblances ?
Réchauffement climatique ; asphyxie de la planète : c’est vous !
Réchauffement du corps ; asphyxie des poumons : c’est moi !
Voyons les dieux odieux de carrière,
Qu’avez-vous donc à porter des muselières ?
La raison est bien une barrière
Et la mort la seule bannière
Universelle, reconnaissable sur toutes les frontières.
De la leçon du Covid
Résonne le son des échos vides
Silence des villes et des rues morbides
Procrastination des projets, même les plus torrides
Confinement général et une peur bleue dans tous les bides
A la recherche d’une victoire lâche
Dans un combat de cache-cache.
O maitre de l’équilibre rajuste nous la tâche
Car Si « la nature à horreur du vide » et des lâches,
Elle à aussi horreur de l’excès qui fâchent.
Par: Moubarak.A.R
In ( non classé )
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